Le fait que le Cahier des charges de Bio Suisse serve de référence pour une initiative montre que la production animale biologique suit des normes élevées. Les éleveurs-euses bio montrent chaque jour qu’on peut aller plus loin que la loi fédérale sur la protection des animaux en offrant aux animaux davantage de place et du plein air, des groupes plus petits, plus de fourrages de leur propre ferme et à la fin un abattage respectueux.
Et ils n’en restent pas là...
Par exemple, à partir de 2026, tous les poussins devront pouvoir vivre. Les veaux ne doivent pas être séparés de leur mère déjà quatre semaines après leur naissance. Et chaque ferme doit respecter pour tous les animaux et les plantes des exigences très élevées pour que l’homme, l’animal et la nature puissent aller bien. Cela est contrôlé en détail et de manière indépendante. Les consommateurs-trices ont donc toujours le choix.
Source : Communiqué de presse de Bio Suisse du 25 septembre 2022
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