Bio Suisse et Demeter déplorent que certains cantons traitent avec la plus extrême rigueur les agriculteurs qui ne veulent pas vacciner leurs bêtes contre la maladie de la langue bleue. Certains de nos voisins, comme l’Autriche, ont déjà accepté la facultativité de cette vaccination. Vu que cette possibilité sera officiellement discutée en Suisse cet automne, Bio Suisse et Demeter réprouvent le fait que certains cantons anticipent le débat en criminalisant les agriculteurs.
Communiqué de presse (site internet de Bio Suisse)