En Valais, la protection phytosanitaire d’environ 40 hectares de vignes bio est effectuée par l’hélicoptère. Mais il n’est pas impossible que les traitements par hélicoptère soient remis en question par l’Office fédéral de l’environnement. Pierre-Yves Felley, directeur de la Chambre d’agriculture du Valais, plaide pour le maintien des traitements à l’hélicoptère, moins pénibles que les traitements à l’atomiseur à dos ou à l’atomiseur monté sur chenillette dans les vignes en forte pente. Car la viticulture (non seulement bio, mais aussi PER) va être amenée selon lui à utiliser de plus en plus de produits naturels à faible persistance, donc les intervalles en deux traitements successifs seront plus courts.
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AGRI, éditorial du 08.08.2014 (site internet de l’AGRI)