Ce site web ne supporte plus Internet Explorer 11. Veuillez utiliser un navigateur plus récent tel que Firefox, Chrome pour un meilleur affichage et une meilleure utilisation.
FiBL
Bio Suisse
Logo
La plateforme des agriculteurs et agricultrices bio

Films tournés lors de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio

Nouvelle  | 

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Séquence d'un des films. Photo: (c) FiBL, Thomas Alföldi Vue de la 2ème journée nationale des grandes cultures bio prise par un drone. (Photo: (c) Bio Suisse) Philippe Tavel (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Bernard et Thierry Candaux (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Observation du sol après le passage d'une machine (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Rencontrer des collègues, c'est la chose la plus importante lors d'un tel événement (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse) Valentin Rochat et son amie Deborah (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse Marc Stammbach (Photo: Markus Spuhler, (c) Bio Suisse)

Trois films furent tournée lors de cette journée, sur les sujets suivants:

  • Désherbage du maïs: démonstration de machines.
  • Destruction d’engrais verts.
  • Variétés de blé d’automne pour le bio.
  • Vous pouvez accéder à ces films en cliquant sur le lien ci-dessous.

Films (sur ce site internet)

Pas moins de 450 personnes participèrent à la 2ème journée nationale des grandes cultures bio le 12 juin 2013 à Grange-Verney VD. Parmi eux, il y avait des agriculteurs bio (en reconversion ou en bio depuis longtemps) et également des producteurs non bio venus voir si le bio serait éventuellement quelque chose pour eux.

Témoignages d'agriculteurs

«Il faut avoir un concept pour acheter et utiliser en commun les équipements techniques nécessaires»
Je suis en 1ère année en reconversion au bio. Pour le moment, je ne cultive que des céréales panifiables et fourragères. Je suis venu ici avant tout pour le contact avec des collègues, c'est la chose la plus importante lors de tels événements. Les machines qu'on a vues ici sont passionnantes. Mais la technologie à elle seule ne suffit pas, car elle est trop chère pour le paysan en particulier. Il faut avoir un concept pour acheter et utiliser ces machines en commun. Grâce à une bonne mécanisation, nous avons l'espoir de  pouvoir cultiver un jour la betterave à sucre en bio. Il faut produire du sucre bio indigène, car importer du sucre bio d'Amérique latine, ce n'est pas durable. 
Philippe Tavel, St-Saphorin-sur-Morges VD

«Nous devons réapprendre à sarcler»
Nous voulions voir les variétés de seigle et les nouvelles variétés de blé. Les cultures sarclées nous intéressaient aussi. Cela ne fait pas longtemps que nous avons reconverti notre domaine au bio. Nous voulons nous remettre à produire du maïs et du colza. Pour cela, nous devons à nouveau nous familiariser avec le sarclage, voilà pourquoi les démonstrations de machines nous intéressent. Nous avons abandonné le bétail; nous avons trouvé ici à Grange-Verney quelques informations qui peuvent nous être utiles pour aller de l'avant dans cette nouvelle situation.
Bernard et Thierry Candaux, Croy VD

"Moi je viens ici pour me renseigner un peu"
Nous avons un mode mixte classique et nous jouons avec l'idée de se convertir au bio. Nous avons reçu des conseils, et divers voisins travaillent déjà dans le bio,  moi je viens ici pour me renseigner un peu. L'échange avec les collègues est très important, mais également l'information et les machines de démonstrations techniques sont très intéressantes. Il est difficile de dire comment ces machines réagiraient dans nos sols car ceux-ci sont très différents d'ici, beaucoup plus difficile et avec plus de cailloux.
Valentin Rochat, Romainmôtier VD

"Les cultures associées qui n'ont que deux composantes ne vont pas assez loin"
A Grange-Verney, les échanges entre collègues qui ont les mêmes objectifs que moi furent très importants pour moi. Mais le transfert de connaissances techniques par les spécialistes à l’intention des praticiens fut également très apprécié. Il est intéressant de voir de nouvelles technologies que je n’ai pas encore mises en pratique sur mon exploitation d’apprentissage. Je suis encore en formation au Schwand, dans le canton de Berne. Je m’intéresse beaucoup pour les cultures associées. Ce que l’on voit ici à Grange-Verney à ce sujet est déjà très réjouissant. Mais les cultures associées qui n’ont que deux composants ne vont pas assez loin à mon avis, elles constituent une démarche pas aboutie.
Marc Stammbach, Bern

Remarque: ce texte est une nouvelle du jour. Il ne sera pas actualisé ultérieurement.

Souhaitez-vous ajouter le site web à l'écran d'accueil ?
Souhaitez-vous ajouter le site web à l'écran d'accueil ?